Si l‘émotion avait un nom, elle s’appellerait Alexandre Adamczyk…La finesse, la perception surtout, des gens des choses, la capture de l’instant, tout cela définit avec précision l’univers de l’auteur qui cherche non pas à reproduire mais à créer ce qu’il voit à l’interieur. De l’autre et de lui-même aussi. Des images à fleur de peau, des images qui ne sont pas sans rappeler la lignée des grands photographes qui marquèrent le noir et blanc de leur empreinte (époque 1).
Et, si Alexandre Adamczyk nous livre de premières images (présentées ici) ou il cherche à exprimer l’interprétation visuelle que l’on peut faire d’une image figurative, il évolue aujourd’hui dans l’autre face du miroir et travaille sur les interprétations figuratives d’images qu’il recherche à travers les traces du quotidien. Tâches, brûlures, rouille ou encore rayures deviennent alors des visages expressifs, des animaux stylisés, des mondes parallèles, surprenants de réalisme et nous emportant tour à tour dans des univers à la Miro, Kandinski ou même Chagall ou Picasso. Chacun y reconnaîtra son sujet, chacun y verra son image, dans une abstraction narrative aussi esthétique que poétique.(époque 2)

If the emotion had a name, it would be called … The Alexander Adamczyk finesse, especially perception, people things, capturing the moment, all that precisely defines the universe of the author seeks not to duplicate but to create what he sees inside. The other and himself too. Images on edge, images that are reminiscent of the tradition of the great photographers who marked black and white footprint (period 1).
And if Alexander Adamczyk delivers first images (shown here) or it seeks to express the visual interpretation that can be a figurative image, it now plays in the other side of the mirror and working on figurative interpretations of images that search through the traces of everyday life. Tasks, burns, rust or scratches become expressive faces, stylized animals, parallel worlds, realism and surprising us taking turns in the universe Miro, Chagall and Kandinsky or even Picasso. Everyone recognize about her, everyone will have his image in a narrative abstraction as poetic aesthetic. (Time 2)